Bruxelles s’est réveillée sous le choc après un grave accident survenu dans son réseau de transports publics. Dans la nuit du 15 au 16 juillet 2025, une tragédie s’est déroulée à la station de métro Anneessens, en plein centre-ville. Une personne a perdu la vie, piégée dans un volet métallique alors que le métro était encore fermé au public.
Les faits : une nuit funeste à Anneessens
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Heure du drame : Les secours ont été alertés vers 4h30 du matin, moment où le volet électrique de la station était en train de s’ouvrir automatiquement pour la réouverture du métro.
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Victime : L’identité de la personne décédée n’a pas été révélée dans l’immédiat.
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Circonstances : Selon les premiers éléments, la victime s’est retrouvée coincée dans le volet au moment crucial de son ouverture. Malgré l’arrivée rapide des secours, elle a malheureusement succombé sur place.
Une vive émotion à Bruxelles
Ce drame a immédiatement suscité une grande émotion dans la capitale, touchant tant les usagers quotidiens du métro que les riverains du quartier Anneessens. Pour beaucoup, cet accident met en lumière les dangers potentiels des systèmes automatisés dans les infrastructures publiques et la nécessité de garantir une sécurité optimale, même en dehors des heures de fonctionnement habituel.
Réaction des autorités et enquête
La STIB, gestionnaire du réseau de transports bruxellois, s’est dite bouleversée. Son porte-parole, Laurent Versmeersch, a confirmé l’incident et indiqué qu’une enquête interne a été ouverte afin de faire toute la lumière sur les circonstances exactes du drame. Les enquêteurs doivent notamment déterminer comment la victime s’est retrouvée sur les lieux à cette heure et pourquoi elle n’a pas pu sortir à temps.
Sécurité dans les transports publics : quelles suites ?
Cet accident dramatique soulève déjà de nombreuses questions sur les protocoles de sécurité dans les stations de métro, particulièrement lors de l’ouverture ou de la fermeture automatique des accès. Il s’agira, pour la STIB comme pour les autorités communales, de rassurer le public et de tirer les leçons nécessaires de ce terrible événement.
À Bruxelles, la vigilance est plus que jamais de mise pour protéger les usagers et éviter qu’un tel drame ne se reproduise. L’enquête en cours devrait permettre d’apporter rapidement des réponses à la population et d’améliorer la sécurité dans l’ensemble du réseau métropolitain

Claire Delmarche est née à Jette, a grandi à Forest et vit aujourd’hui à Saint-Josse.
Bruxelles, elle la traverse en tram, en vélo ou à pied, carnet en main et casque sur les oreilles. Formée à l’IHECS, passée par quelques rédactions « où on met plus de temps à remplir un tableau Excel qu’à écrire un article », elle a vite compris qu’elle serait plus libre en dehors des circuits classiques.
Claire aime les histoires à hauteur d’humain. Celles qu’on ne voit pas dans les grands JT. Elle écrit sur la vie des quartiers, les luttes sociales, les brasseries de quartier qui ferment, les collectifs citoyens qui s’organisent, les contradictions bruxelloises qu’on adore détester.
Bilingue (et brusseleir par adoption), elle jongle entre les langues comme entre les tramways de la STIB. Elle refuse la neutralité molle et préfère le regard juste, nuancé, sincère, même s’il dérange.
Membre fondatrice de informations.brussels, elle y signe des papiers bruts, tendres ou caustiques — mais toujours vrais.
Sa devise : « Écouter avant d’écrire. Et toujours relire à voix haute. »
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