Historique
Bien qu’il ne s’agisse pas d’un personnage historique, il convient de noter que « Dame Blanche » fait également référence au célèbre dessert : de la glace à la vanille avec de la sauce au chocolat chaud et de la crème fouettée. Ce plat est devenu populaire au début du XXe siècle et a été baptisé ainsi en hommage à l’apparence élégante et mystérieuse de la mythique dame blanche. L’explication la plus courante est que ce dessert est né dans la cuisine française ou belge vers les années 1920. Il est rapidement devenu populaire dans les brasseries et les restaurants chics. Le nom ferait référence à la couleur de la base de la crème glacée (souvent de la vanille), qui est considérée comme « blanche » et élégante – une « dame blanche ». En Belgique, la Dame Blanche est devenue un dessert national emblématique. Elle y est incontournable, tant dans les restaurants traditionnels que sur les menus des fêtes à domicile. Le chocolat belge est souvent utilisé pour la sauce, ce qui donne au plat une saveur encore plus riche.
Ingrédients (pour 4 personnes)
Pour le dessert :
-
8 boules de glace à la vanille (de préférence à la vraie vanille)
-
Crème fouettée (fraîchement fouettée ou provenant d’une bombe aérosol)
Pour la sauce au chocolat chaud :
-
150 g de chocolat noir (au moins 60-70% de cacao)
-
100 ml de crème (fouettée ou entière)
-
25 g de beurre non salé
-
1 cuillère à soupe de sucre (facultatif)
-
Optionnellement : un petit trait de rhum ou de liqueur (par exemple Grand Marnier).

Claire Delmarche est née à Jette, a grandi à Forest et vit aujourd’hui à Saint-Josse.
Bruxelles, elle la traverse en tram, en vélo ou à pied, carnet en main et casque sur les oreilles. Formée à l’IHECS, passée par quelques rédactions « où on met plus de temps à remplir un tableau Excel qu’à écrire un article », elle a vite compris qu’elle serait plus libre en dehors des circuits classiques.
Claire aime les histoires à hauteur d’humain. Celles qu’on ne voit pas dans les grands JT. Elle écrit sur la vie des quartiers, les luttes sociales, les brasseries de quartier qui ferment, les collectifs citoyens qui s’organisent, les contradictions bruxelloises qu’on adore détester.
Bilingue (et brusseleir par adoption), elle jongle entre les langues comme entre les tramways de la STIB. Elle refuse la neutralité molle et préfère le regard juste, nuancé, sincère, même s’il dérange.
Membre fondatrice de informations.brussels, elle y signe des papiers bruts, tendres ou caustiques — mais toujours vrais.
Sa devise : « Écouter avant d’écrire. Et toujours relire à voix haute. »
0 commentaires