Historique
Au XVIIe siècle, pendant l’âge d’or de la Hollande, la pêche au hareng est devenue un aspect important de l’économie de la République des Sept Pays-Bas unis. Les pêcheurs hollandais ont mis au point des techniques innovantes, telles que le « tube à hareng » et le « coupeur de hareng », et le commerce du hareng a atteint son apogée. Le marché du hareng de la ville d’Amsterdam était l’un des plus grands du monde et le hareng était l’un des principaux produits d’exportation des Pays-Bas. Le célèbre « Haringvloer » d’Amsterdam est devenu le centre du commerce du hareng. Le hareng y était négocié et distribué sur tous les marchés. Aux Pays-Bas, le hareng était souvent consommé tel quel : cru, avec de l’oignon et parfois du vinaigre, ce qui est toujours une façon populaire de manger le poisson.
Préparation traditionnelle de la rougeole (hareng)
Fournitures :
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4 harengs frais coupés
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1 petit oignon (facultatif)
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1 tranche de pain aigre (facultatif)
Préparation :
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Nettoyage du hareng (facultatif) : Aux Pays-Bas, les matelotes sont souvent consommées telles quelles, sans préparation supplémentaire. Le poisson est déjà nettoyé et prêt à être consommé. Si vous nettoyez le poisson vous-même, vous pouvez enlever les entrailles, mais cela a généralement déjà été fait avant la vente.
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Manger du hareng: Vous pouvez manger le hareng de manière traditionnelle en tenant le poisson par la queue et en prenant une bouchée. Cette méthode est généralement utilisée avec un peu d’oignon et d’acide sur le côté. Certaines personnes préfèrent manger le pain avec le hareng.
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Avec de l’oignon et de l’aigre: Si vous voulez plus de saveur, vous pouvez servir le hareng maatjes avec de l’oignon et de l’aigre finement hachés (cornichons ou concombre aigre). Cela ajoute une saveur fraîche et piquante qui complète bien la texture huileuse du hareng.

Claire Delmarche est née à Jette, a grandi à Forest et vit aujourd’hui à Saint-Josse.
Bruxelles, elle la traverse en tram, en vélo ou à pied, carnet en main et casque sur les oreilles. Formée à l’IHECS, passée par quelques rédactions « où on met plus de temps à remplir un tableau Excel qu’à écrire un article », elle a vite compris qu’elle serait plus libre en dehors des circuits classiques.
Claire aime les histoires à hauteur d’humain. Celles qu’on ne voit pas dans les grands JT. Elle écrit sur la vie des quartiers, les luttes sociales, les brasseries de quartier qui ferment, les collectifs citoyens qui s’organisent, les contradictions bruxelloises qu’on adore détester.
Bilingue (et brusseleir par adoption), elle jongle entre les langues comme entre les tramways de la STIB. Elle refuse la neutralité molle et préfère le regard juste, nuancé, sincère, même s’il dérange.
Membre fondatrice de informations.brussels, elle y signe des papiers bruts, tendres ou caustiques — mais toujours vrais.
Sa devise : « Écouter avant d’écrire. Et toujours relire à voix haute. »
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