Sole à la Meunière signifie littéralement « sole à la meunière ». Ce nom fait référence à la méthode de préparation qui consiste à paner le poisson dans de la farine (d’où le nom du meunier, qui moud la farine) et à le faire frire dans du beurre. La sole à la meunière a gagné en notoriété grâce à de célèbres chefs français et a été popularisée hors de France par des icônes culinaires telles que Julia Child. Ce plat symbolise l’approche française de la simplicité avec des ingrédients de haute qualité.
Ingrédients (pour 2 personnes) :
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2 langues de mer entières (nettoyées, sans peau)
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Farine (pour saupoudrer)
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50 g de beurre (non salé)
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1 cuillère à soupe d’huile d’olive
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1 citron (en tranches ou en jus)
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2 cuillères à soupe de persil haché
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Sel et poivre à volonté
Préparation :
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Préparer le poisson
Rincer les coquilles Saint-Jacques à l’eau froide et bien les éponger. Assaisonnez-les de sel et de poivre des deux côtés. -
Farinez
Saupoudrez légèrement le poisson de farine des deux côtés. Secouez l’excédent de farine.
Préparation :
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Friture au beurre et à l’huile
Faites chauffer la moitié du beurre avec l’huile d’olive dans une grande poêle à feu moyen.

Claire Delmarche est née à Jette, a grandi à Forest et vit aujourd’hui à Saint-Josse.
Bruxelles, elle la traverse en tram, en vélo ou à pied, carnet en main et casque sur les oreilles. Formée à l’IHECS, passée par quelques rédactions « où on met plus de temps à remplir un tableau Excel qu’à écrire un article », elle a vite compris qu’elle serait plus libre en dehors des circuits classiques.
Claire aime les histoires à hauteur d’humain. Celles qu’on ne voit pas dans les grands JT. Elle écrit sur la vie des quartiers, les luttes sociales, les brasseries de quartier qui ferment, les collectifs citoyens qui s’organisent, les contradictions bruxelloises qu’on adore détester.
Bilingue (et brusseleir par adoption), elle jongle entre les langues comme entre les tramways de la STIB. Elle refuse la neutralité molle et préfère le regard juste, nuancé, sincère, même s’il dérange.
Membre fondatrice de informations.brussels, elle y signe des papiers bruts, tendres ou caustiques — mais toujours vrais.
Sa devise : « Écouter avant d’écrire. Et toujours relire à voix haute. »
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